Ou la beauté simple et discrète selon Caroline Guillot
Atelier Shibumi… Certains penseront au célèbre roman de Trevanian justement intitulé Shibumi et ils auront raison… Car c’est bien du titre de l’ouvrage que la céramiste nouvellement Regrippiéroise s’est inspirée pour son nom d’artisane. Parce que les mots ont un sens et notamment les concepts esthétisants japonais, « shibumi » est le beau vu comme la simplicité élégante, un raffinement subtil sous des apparences banales, une harmonie minimaliste. Les créations de Caroline sont-elles shibumi/shibui ? Oui, à l’évidence… Visite à l’atelier.